dimanche 14 décembre 2008

El baz del baz el aachis disgharen.

Le Village Taghalat sous la neige .Chetwa teqseh, ixxamen at yahia aalqen izevlach

Wi demlalagh wa demlilagh:

le regard vif,froid ou chaleureux qui nous fait vivre une rencontre aussi banale et hasardeuse .Dans notre vie ,elle nous enseigne de nous meme dans des moments de sollicitude ,dans des moments avec la famille ,apres une "longue" absence, des amis qu'on a souvent oublies ,des endoits familiers mais qui nous reviennnt comme des invites a chaque fois sur notre chemin.´parlons en ...

Sligh:

Des fois le mot veut dire sentir dans les fonds de son etre l'appel de la verite, pour d'autre simplement l'echo d'une voix qui nous ebloui ...celle de l'etre aime . une voix ,un murmure de l'eau , les goutes de pluie sur le toit d'une maison , un orage sur une contree, un fremissement, une douleur meme non exprimee,

Urar,

Tout ce qui nous renvoit a l'enfance ,a l'insoucience ,a l'extase ,au bonheur d'etre soi ,d'etre les autres ,d'etre vrai sans penser ni plus ni moins.

Mi d'nughal,

voyageur qui nous revient ,et avec, ce qui est des autres lieux de cette terre ,comme odeur etrangere ou familiere rapproche nos vues ,nous charge de nouveautes et de graces emerveillees et nous renforce dans notre humanite,

Aaessas,

Par tout ces saints qui nous gardent des malheurs ou des mauvais oeils et qui nous fassent bercer par le reve d'etre bon et de vaincre et la peur et notre perte. Ceux qui nous guident comme des lumieres lointaines et lointaines mais si proche vers l'eternite et l'ultime,

Imensi, wa yetchat wa fihel

Ce soir nous irons diner, peut etre non .quelques uns dans la chaleure du bois et celle de la famille d'autres seuls sans le reconfort de personne et de rien.

Ghaf yismis,

A celle ou celui qui par son nom tout s'arrete et tout recommence ,que nous aimons par des manieres ou sans ,mais que nous aimons ,

Enehtath,

Enfin le soucis et quelques parts l'echec !

Win ibegsen
















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